Tuer les chiens

Voilà le printemps, et dans le parc de la réserve de Bolchekhekhtsyr dans l'Extrême Est de la Russie grandit/<em>s'accroit</em> une nouvelle population d'animaux. Mais cela inquiète les zoologistes plus que cela ne les rejouit. L'année dernière, cette région a connu de grandes crues à l'Extrême Orient, beaucoup de chiens, abandonnés par leurs propriétaires/maîtres, se sont installés dans la forêt. Pendant l'hiver, ils sont devenus sauvages, et se sont regroupés en meutes ; C'est un problème grave pour le parc. 
Les chevreuils, les cerfs de Sibérie sont si rares maintenant, que l'on considère chacune de leur trace comme une chance. Un employé du parc Bolchekhekhtsir a constaté qu'au milieu du parc, près du village de Bytchikha, il n'y a presque plus d'ongulés. La quantité des ongulés s'est réduite quasi du tiers. Un inspecteur a dit qu'il a été témoin de la mort d'une femelle cerf en gestation qui est tombée raide morte devant lui, chassée par une meute de chiens.
Les inspecteurs disent que les meutes de chiens sont plus dangereuses que celles des loups. Les chiens sont plus intelligents. Ils connaissent les gens et peuvent éviter les pièges. Maintenant en forêt il reste de la neige durcie, sur laquelle les animaux affaiblis se blessent les pattes. Les chiens, plus endurants, peuvent chasser longtemps. Leurs victimes sont souvent les femelles enceintes/en gestation ou les petits.
Outre les ongulés, cela concerne les petits sangliers, et parfois les sangliers adultes. Il est interdit de nourrir des animaux du parcs, et les sangliers sont très faibles et souffrent du manque/<em>de la pénurie</em>  de glands, de noisettes et de fruits/<em>cônes</em> de cèdre, due à une faible production à l'automne dernier. Il n'y a plus qu'une centaine de sangliers de nos jours/<em>actuellement</em>. L'année dernière il y en avait  bien davantage.
Les inspecteurs en sont réduit à tuer les chiens. Mais intelligents et dangereux, les chiens essayent de ne pas rencontrer les gens et <em>se propagent à la progression géométrique</em>. (je ne suis pas certaine de bien comprendre cette phrase)
Les inspecteurs expliquent aux villageois de ne pas abandonner leurs chiens, mais cette propagande n'apporte aucun résultat.

Le voilà le printemps, et à la réserve de Bolchekhekhtsyr située à l'Extrême Orient de la Russie grandit une nouvelle population d’animaux.
Mais les zoologistes en ressentent plutôt de l'anxiété que de la joie.
L'année dernière a connu de grandes crues en Extrême Orient, beaucoup de chiens, abandonnés par leurs propriétaires, se sont installés dans la forêt.
L'hiver, après être devenus sauvages, les chiens se sont regroupés en meutes et cela est un grand problème pour les par et les réserves.
Les chevreuils, les cerfs de Sibérie sont si rares maintenant, que l'on considère chacune de leurs traces comme une chance.
Un employé du parc Bolchekhekhtsir a constaté qu'au milieu du parc, près du village Bytchikha, il n'y a presque plus d'ongulés.

La quantité des ongulés s'est réduite de presque de tiers.
Un d'inspecteur a dit qu'il a été un témoin de la mort d'une femelle de cerf enceinte qui est tombée raide morte près de lui, chassée par une meute de chiens.
Les inspecteurs disent que les meutes de chiens sont plus dangereuses que celle des loups.
Les chiens sont plus intelligents.
Ils connaissent les gens et peuvent éviter les chausse-trappes.
Maintenant en forêt il reste de la neige durcie, donc les animaux affaiblis se blessent les pattes.
Les chiens, plus endurants, peuvent chasser longtemps.
Leurs victimes sont souvent les femelles enceintes ou les petits.
Outre les ongulés, cela concerne aussi les petits sangliers, et parfois les sangliers adultes.
Il est interdit à nourrir des animaux dans les réserves, et les sangliers sont très faibles à cause de la disette et d’une mauvaise production de glands, de noisettes de cèdre à l'automne dernier.
Il n'y a plus qu'un centaine de sangliers de nos jours.
L'année dernière il y en avait beaucoup plus.
Les inspecteurs en sont réduits à tuer les chiens.
Mais intelligents et dangereux, les chiens essayent de ne pas rencontrer des gens et se reproduisent suivant un rythme de progression géométrique.
Les inspecteurs expliquent aux villageois de ne pas abandonner leurs chiens, mais cette propagande n'apporte pas de résultats.