La Démocratie et la participation
Cette semaine, le Parti Libéral du Canada a annoncé qu’ils vont rechercher une proposition ce qui le ferait mandatoire (???) pour permettre aux citoyens du Canada de voter dans des (lors d') élections. Justin Trudeau, le chef de ce parti, a suggéré que c’est juste une proposition, mais que nous devons comprendre les fortes implications d’une telle loi.
Je crois que la santé d’une démocratie est basée sur la possibilité (?) et la liberté des citoyens et d’autres personnes qui vivent dans un pays spécifique d’être libres de faire ce qu’ils veulent sans l’autorité du gouvernment alors qu’ils n’embêtent pas d’autres individus. En d’autres mots, le gouvernement ne devrait pas avoir le droit de vous dire ce que vous devez faire si vous ne representez pas une menace pour la société ou vous-même(s).
De plus, je pense que le droit de ne pas voter fait partie de la liberté d’expression codifiée dans notre constitution, la Charte des Droits et Libertés (écrite en 1982). Si nous ne pouvons pas convaincre nos citoyens de participer à des élections, alors peut-être nous nous posons la mauvaise question. Nommez de meilleurs candidats si vous avez un problème avec le manque de participation dans des élections au lieu de voter cette proposition ridicule! C’est une solution très simple. La criminalisation Forcer la décision de participation dans le processus démocratique n’est pas une solution qui va changer la culture d’apathie politique.
Les experts veulent centrer leurs positions sur le cas de l’Australie. Ils ont un taux de participation de 95% et des personnes qui ne vote pas doivent payer une amende de vingt dollars. Le taux montant de l’amende n’est pas important, mais c’est le concept que le gouvernment veut forcer leurs citoyens à voter sous la menace d’une amende qui est le problème fondamental.