Aaron // 谷润岚
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Présentation Orale (Partie 2) D'abord, j'ai choisi trois livres de Zola dont je vais discuter. Le première est Germinal. Publié en 1895 (mille huit cent quatre vingt quinze), ce livre est le treizième de la serie Les Rougon-Macquart, et aussi il s'appelle le chef-d'œuvre de Zola. Ce livre suive la vie des ouvriers dans une ville minière, et prinicipalement la vie d'un Étienne Lantier. Cette ville est dans une situation horrible. La famine et la pauvreté sont ordinaires. Quand Étienne voit l'état dans que ces hommes vivent et travaillent, il jure changer ses vies. Hormis des ouvriers, il y a aussi les chefs, les bourgeoises. Le croyance des chefs est que les ouvriers sont remplaçables - ils veulent seulement que les mines leur gagnent d'argent. Ce n'était pas un livre coloré, sinon très morose, désespéré. Pour moi c'est étrange que j'ésperais un fin heureux - je préfére souvent la tragédie - mais bien que je susse sans doute qu'il y aurait un fin tragique, Zola a fait que j'ai voulu de bonheur pour les personnages. Quand le lecteur sont ainsi concerné pour les vies de ces hommes fictives - voici la preuve que l'auteur sait lequelle il fait. D'aprés moi, ce livre montre bien les tensions de cette époque - tensions pas seulement entre les ouvriers et les chefs, mais aussi entre les ouvriers eux-mêmes.
Nov 20, 2014 7:59 PM
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Présentation Orale (Partie 2)

D'abord, j'ai choisi trois livres de Zola dont je vais discuter. Le première est Germinal. Publié en 1895 (mille huit cent quatre vingt quinze), ce livre est le treizième de la série Les Rougon-Macquart, et aussi il s'appelle le chef-d'œuvre de Zola. Ce livre suit la vie des ouvriers dans une ville minière, et prinicipalement la vie d'un Étienne Lantier. Cette ville est dans une situation horrible. La famine et la pauvreté sont ordinaires. Quand Étienne voit l'état dans que ces hommes vivent et travaillent, il jure changer ses vies. Hormis des ouvriers, il y a aussi les chefs, les bourgeoises. Le croyance des chefs est que les ouvriers sont remplaçables - ils veulent seulement que les mines leur gagnent d'argent.
Ce n'était pas un livre coloré, sinon très morose, désespéré. Pour moi c'est étrange que j'ésperais un fin heureux - je préfére souvent la tragédie - mais bien que je susse sans doute qu'il y aurait un fin tragique, Zola a fait que j'ai voulu de bonheur pour les personnages. Quand le lecteur sont ainsi concernés pour les vies de ces hommes fictifs - voici la preuve que l'auteur sait lequelle il fait.
D'aprés moi, ce livre montre bien les tensions de cette époque - tensions pas seulement entre les ouvriers et les chefs, mais aussi entre les ouvriers eux-mêmes.

November 20, 2014
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