LES SYMBOLS ET LES VALEURS DE NOTRE PAYS Espagne est un pays démocrate. On a la Constitution de 1978 qui établie que notre État est une monarchie parlementaire et laïque, encore que la religion majoritaire es le catholicisme, et les fêtes et les traditions sont catholiques. C’est la religion qui s’étudie à l’école, mais de forme volontaire, pas comme une matière obligatoire. La devise nationale est l’euro depuis 2002. Avant il y avait la peseta. Le drapeau nationale a trois bandes : rouge, jaune et rouge, horizontaux. La bande jaune est deux fois plus grande que les autres. Depuis la finalisation de la république, avec la monarchie, le drapeau inclus le bouclier de la couronne au milieu de la bande jaune. L’hymne national est La Marche Royale et n’a pas de lettre. Le parti politique qui gouverne actuellement le pays est le Parti Populaire (PP), présidé par Mariano Rajoy, d’idéologie de droite. Il y a quelques années le président d’Espagne était J.L. Rodríguez Zapatero, qui gouvernait le pays, dans le Parti Socialiste (PSOE), d’idéologie de gauche. Avant de la Constitution espagnole de 1978, Espagne était soumise à la dictature du Général Franco, pendant 36 années, entre 1939 et 1975, quand il est mort. La guerre civile espagnole s’est passée depuis 1936 à 1939. Les années d’après-guerre ont été des années d’un grand retard économique et culturel. Actuellement, Espagne souffre de la crise économique depuis 2009. L’espoir de sortir de cette crise est encore éloignée. La tradition politique espagnole a été marquée par l’opposition entre deux partis : le Parti Socialiste Ouvrier Espagnole (PSOE) et le Parti Populaire (PP). Après ces années de crise, marquées par de nombreux cas de corruption, la population est indignée et commence à exiger un changement du régime politique. Il y a un nouveau parti politique, Podemos (On peut), sorti de la crise, crée par des citoyens qui ont représenté des mouvements d’indignation et protestation en face de la crise et des gouvernants. Il y a beaucoup de citoyens qui réclament un changement, et ils ont de la confiance en Podemos. Pourtant, ce parti a beaucoup de détracteurs aussi. On aura d’attendre les prochaines élections pour savoir quel est l’avenir de ce parti, et de notre pays.