italki - Attendre ou agir? J'attends. Je suis en train d'attendre

Christine

Attendre ou agir? J'attends. Je suis en train d'attendre - hier j'attendais, et demain j'attendrai. Depuis trois ans, je travaillais pour un programme de sante publique, en Afrique a l'est. J'aime beacoup ce travaille, mais ses circonstances sont dures. j'habitais en dehors, en deux sens - loin de chez moi, loin des amis et de familles, et physicalement en dehors - je dormais souvent en plein aire aux villages. J'attends le temps quand je puisse dormir toutes les nuits chez moi, avec ma chere chat. je me reveillerai a six heures encore, je suis certaine, mais j'attends les matins quand je puisse faire du yoga a six heures et demi. Maintenant il est l'heure d'assembler mes papiers, mon sac medicale, ma creme de soleil. Lors de ces preparations, m'ami Amane faire ses devoirs, son examen quotidienne de notre Land Cruiser. Je n'attends pas le moment quand je doive le dire abientot - je ne sais pas quand ou si j'aille le rendre visite, ici tant loin de la maison de laquelle j'aie tel envie. J'attends les redezvous avec (des?) amis. Actuellement, je vois les detailles des ses vies furtivement, vers les lunettes de Facebook et Twitter. Ils sortent aux restaurants, aux films, aux soirees parmi chez eux. Je regarde leur photos comme une femme demi-folle, pour le cinqieme fois, le sixieme, chaque fois esperant que un parmi eux aille me dire, Christine! Nous ne sentons pas que tu puisses venir! Mais je sais bien qu'il faut vivre actuellement. Il n'y a pas de passe, ni l'avenir. Maintenant, c'est tout. En dehors, le ciel Afrique et ses etoiles sont magnifiques. Amane et mes autres collegues sont des gens gentils, intelligents, forts. Ils me font heureusement humilite. Alors! J'attends demain matin, a six heures, quand je commencerai practiquer plus agir, pas attendre.

Apr 26, 2015 4:21 PM

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Attendre ou agir ?

J'attends. Je suis en train d'attendre - hier j'attendais, et demain j'attendrai. Depuis trois ans, je travaille pour un programme de santé publique, en Afrique de l'Est. J'aime beacoup ce travail, mais ces circonstances sont dures. J'habite en dehors, dans les deux sens - loin de chez moi, de mes amis et de ma famille, et physiquement en dehors - je dors souvent en plein air dans les villages.

J'attends le moment où je pourrais dormir toutes les nuits chez moi, avec ma chatte adorée. Je me reveillerais à six heures encore, j'en suis certaine, mais j'attends les matins où je pourrais faire du yoga à six heures et demi. Maintenant il est l'heure de rassembler mes papiers, ma trousse medicale, ma crème solaire. Lors de ces préparatifs, mon ami Amane effectue sa vérification quotidienne de notre véhicule tout-terrain. Je n'attends pas le moment où je devrais lui dire à bientôt - je ne sais pas quand ou si je pourrais lui rendre visite, en étant si loin de la maison dans laquelle j'ai tant envie d'être.

J'attends les retrouvailles avec mes amis. Actuellement, je vois furtivement le déroulement des ces vies, depuis les écrans de Facebook et Twitter. Ils sortent au restaurant, vont au cinéma, font des soirées entre eux. Je regarde leurs photos comme une femme devenant folle, pour la cinquième ou la sixième fois, chaque fois en espérant que l'un d'eux puisse me dire : "Christine ! Nous avons hâte que tu reviennes" !

Mais je sais bien qu'il faut vivre le moment présent. Il n'y a pas de passé, ni d'avenir. C'est maintenant, et c'est tout. Dehors, le ciel d'Afrique et ses étoiles sont magnifiques. Amane et mes autres collègues sont des gens gentils, intelligents, forts. Ils me donnent de l'humilité. Alors ! J'attends demain matin, à six heures, quand je commencerai plus à agir, et moins à attendre.