Honoré de Balsac Honoré de Balsac est un écrivain français, qui vivait pendant le XIX siècle. Son talent multiforme lui a permis de créer tels romains que ''Le chef-d'oeuvre inconnu'', ''La Peau du chagrin'', et le brillant du réalisme ''Eugénie Grandet'', qui a été écrit en 1834. Le nom d'extrait que je voudrais présenter est ''La vie de la Grande Nanon''. Après la lecture de ce texte j'étais émue, parce que je ne pouvais pas comprendre quelle était l'idée principale. Un peu plus tard je me suis rendue compte, que l'auteur voulait exprimer la grandeur de la gratitude de cette vieille servante envers Grandet. Toute sa vie elle était accueilliée mal, peut-être même rudemend par les gens. Quand elle avait 22 ans, elle cherchait à trouver le travail, mais personne l'a plainte à cause de sa figure laide. Mais il n'y avait que Grandet, qui lui a donne le travail. Vers la fin de la vie La Grande Nanon est devenue presque riche et tout le monde l'enviait, mais personne savait rien de ses manques et infortunes. Grandet était si avare, féroce et méchant, que tous s'étonnaient pourqoui Nanon était si attachée et fidèle à lui. Tout ce que sentait Nanon était la gratitude et la reconnaissance et ces deux mots sont à la base de l'idée principale. La tonalité tragique ou plutôt dramatique du texte se fait sentir partout et l'auteur a utilisé le vocabulaire particulaire pour la montrer: la créature humaine (envers la femme), il avisa cette fille (avise est du style de la litterature élévée) etc, Nous pouvons aussi distinguer les images de la société, qui était incitéé contre Nanon, l'image des relation entre la service et le maître. Cet extrait est plein de métaphores: sa figure été fort admirée sur les épaules d'un grenadier de la garde etc, d'épithètes: le résultat gigantesque des longues et persistantes économies, la pauvre sexagénaire etc. Toutes les procédés lexico-stylistiques comprennent une connotation d'estimation, et tout cela forme les descriptions vives de la vie des personnages. Le texte est en tout ironique, mais c'est une ironie amere, qui révéle des imperfections spirituelles de l'homme.