Un résumé des opinions sur la crise monétaire en Europe
Cette semaine j’ai lu beaucoup d’articles d’opinions, en français et en anglais, sur la crise monétaire en Europe. Ici je voudrais présenter un résumé de deux opinions différentes. Pour l’instant je m’abstiens à de présenter mes opinions qui, en tout cas, sont encore mal formées.
Paul Krugman, l’économiste qui écrit pour le New York Times, plaide en faveur d’un Grexit. Au moins, il plaide en faveur d’une d'un vote de du (ou pour le ) «Non» le ce dimanche—et la plupart des penseurs disent qu’une telle qu'un tel vote signifie que la Grèce quittera l’euro(ou: qu'un tel vote implique une sortie de la Grèce de la zone euro) . Krugman prétend que l’euro piège la Grèce dans une camisole de force et l’euro ne la lui donne aucune façon d’améliorer sa situation économique. C’est-à-dire que l’austérité est un échec et qu'il faut que la Grèce quitte l’euro afin de rétablir son économie.
Par contre, Jean-Marie Colombani, l’ancien directeur du Monde, utilise des mots sévères pour décrire le premier ministre de la Grèce (ou: le premier ministres grec) et son parti : selon Colombani, ils ont montré cette semaine leur vrai visage et c’est sont «un groupe de rupture, antisystème, anticapitaliste, et … anti-européen.» Colombani se dispute avec Krugman à propos des racines de la crise. Pour Colombani, le problème ce n’est pas de l’austérité (ou: le problème ne provient pas de l'austérité) mais d’un système grec qui est largement corrompu et clientéliste. En dépit de sa colère contre le gouvernement grec, Colombani affirme que le Troïka, ou les dirigeants européens, ne doivent pas abandonner la Grèce. Selon Colombani, les Grecs méritent mieux que Syriza et ils doivent rester dans la zone euro.
Quoi Que faire ? Moi, je n’ai aucune idée de comment résoudre ce problème pénible.