Tom Burton
Ma première critique littéraire: Le monde au bout du Monde par Luis Sepúlveda (Partie II) En plus, quand Nilssen raconte l'histoire de sa vie au narrateur, il dit que «j'étais un homme habitué à la solitude et je me méfias du monde». Il dit comment sa mère devais se cacher comme un animal blessé dans leur bateau chaque fois ils approchaient d'un port. Elle a raison. Sa mère étaient été «la victime et le témoin d'un des grands génocides de l'histoire moderne». Les occidentales ont fait chasser aux indiennes dans les maniérés le plus dépravé imaginable. Malheureusement, ces crimes de l'histoire, qui sont souligné par le roman, sont relativement inconnu de nombreux. La tristesse de Nilssen est juste un moreau de la mémoire collective est presque perdu de ces cultures anciennes est et indigène de la Patagonie. En outre, Nilssen se sens un affinité avec la mer et le monde australe, attristé et endurci par sa vie. Il trouve sa résolution, comme le narrateur, dans la lutte contre la destruction de la mer, symbolisé par la presque extinction des baleines. Celles grandes espèces de animaux sont le motif qui attache le différents parties de la narratif et ces thèmes. La chasse brutale des baleines et la bataille naissante de Greenpeace et les autres organisations environnementale contre leur extinction imminente est une histoire allégorique de la destruction de l’environnent par l'humanité moderne qui est là avec multiple manifestations dans le roman. Cependant, je ne voudrais pas recommander ce roman avant que je lise des autres romans avec les même thèmes. Par exemple, des romans de Francisco Coloane sont plus recommandé par beaucoup de lecteurs en ligne*. Moi aussi, je pense que il y a beaucoup trop de détails sur «l'énumération fastidieuse des innombrables canaux et fjords*» et moins de l'accent sur les quelques personnages qui ont potentiel pour développement. En tout cas, j'appréciais ce roman, principalement grâce à ces sujets qui était une assez nouvelle exploration pour moi. * Voyez ce site : http://www.babelio.com/livres/Seplveda-Le-monde-du-bout-du-monde/3297
Sep 5, 2015 12:39 PM
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Ma première critique littéraire: Le monde au bout du Monde par Luis Sepúlveda (Partie II)

En plus, quand Nilssen raconte l'histoire de sa vie au narrateur, il dit: que «j'étais un homme habitué à la solitude et je me méfiais du monde». Il dit comment sa mère devait se cacher comme un animal blessé dans leur bateau chaque fois qu'ils approchaient d'un port. Elle avait raison. Sa mère étaient été «la victime et le témoin d'un des grands génocides de l'histoire moderne». Les Occidentaux ont fait chassé les Indiennes dans des conditions déplorables / inacceptables dans les maniérés le plus dépravé imaginable. Malheureusement, ces crimes de l'histoire, qui sont souligné par évoqués dans le roman, sont relativement peu connus de nombreux. La tristesse de Nilssen est juste un morceau est de ces cultures anciennes est et indigènes (de la Patagonie), presque oublié de la mémoire collective.

En outre, Nilssen se sent un affinité lien fort avec la mer et le monde australe, attristé et endurci par sa vie (qui est attristé? Nilssen ou le monde austral?). Il trouve refuge / réconfort / force sa résolution, comme le narrateur, dans la lutte contre la destruction de la mer, symbolisée par la presque quasi extinction des baleines. Cette grandes espèces d'animaux est le fil conducteur motif qui attache le entre les différentes parties du livre la narratif et les thèmes principaux. La chasse brutale des baleines et la bataille naissante le combat naissant/embryonnaire de Greenpeace et les ainsi que des autres organisations environnementales contre leur extinction imminente est une histoire allégorique de la destruction de l’environnement par l'humanité moderne, présentée sous diverses formes / manifestations qui est là avec multiple manifestations dans le roman.

Cependant, je ne voudrais pas recommander ce roman avant que je lise des autres romans avec les même thèmes (a bit clumsy. Instead: Je pense qu'il est préférable de lire d'abord d'autres romans qui portent sur le même sujet.). Par exemple, les romans de Francisco Coloane sont davantage plus recommandés par beaucoup de lecteurs en ligne*. Moi aussi, je pense que il y a beaucoup trop de détails sur «l'énumération fastidieuse des innombrables canaux et fjords*» et moins de l'accent le roman est moins axé sur les quelques personnages et leur évolution à travers l'histoire potentiel pour développement. En tout cas, j'appréciais ai apprécié ce roman, principalement grâce aux thèmes abordés. ces sujets qui était Ce fut une expérience nouvelle et enrichissante assez nouvelle exploration pour moi.

* Voyez ce site : http://www.babelio.com/livres/Seplveda-Le-monde-du-bout-du-monde/3297

September 5, 2015
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