Quand j’étais petit...
Quand j’étais petit, j’avais un caractère insupportable. Souvent je pleurais, me plaignais de beaucoup de choses. Ainsi, si je me rencontrais de nouveau aujourd'hui, je me flanquerais volontiers des gifles. Mais, je crois, qu’il n’y a rien de particulier (dans cette histoire) en cela…
Quoi qu’il en soit, maintenant je voudrais raconter une autre chose. Il y a une nouvelle russe pour les enfants qui s’intitule « Ce que j’aime et ce que je n’aime pas ». Il n’est pas difficile de deviner ce que raconte le jeune héros dans cette histoire. Mais moi, je voudrais vous narrer mon enfance un peu autrement. Je vais vous raconter ce que je faisais et ce que je ne faisais pas.
Quand j’étais petit, j'adorais le lait en poudre. Sur le rebord de la fenêtre, dans la cuisine de ma grand-mère, il y avait toujours un bocal en verre de 3 litres rempli de cette poudre magique. Une fois je le vidai d'un seul trait***. Après cela je dus attendre plusieurs années d'avoir assez grandi pour pouvoir (prendre) attraper mon trésor sur le rayon du haut.
Quand j’étais petit, je faisais tout avec la main gauche : je mangeais, dessinais, pressais un bouton sur la télécommande, lançais une balle, me raccrochais aux branches, tirais les filles* par leurs tresses, etc. Mais une fois que, par habitude, je pris une cuillère dans ma main gauche, à ma grande surprise maman la changea soigneusement mais avec insistance de main.
Par la suite je dus m’habituer à vivre de cette nouvelle manière. Maintenant je pense à ce qui aurait pu advenir si j'étais resté gaucher : j’aurais pu devenir un peintre célèbre, un musicien inspiré ou un écrivain un peu meilleur que je ne** le suis aujourd’hui…
Quand j’étais petit, chaque jour je jouais au football avec des (gars) garçons dans la cour de mon immeuble. J’avais huit ou neuf ans alors qu’ils en avaient dix-huit ou dix-neuf. Ma tête atteignait à peine leurs genoux. Un jour, alors que nous étions très concentrés sur le jeu, l'un d'entre eux me lança le balon en plein dans la figure. A partir de ce moment je cessai de m’intéresser à tous les jeux en relation avec une balle.
Quand j’étais petit, j'écrivais de la musique. Mais un matin je fis deux (fautes) erreurs : j'osai jouer mes chefs-d’œuvre à mon professeur de musique et de plus j'eus la bêtise d’écouter sa critique. En revanche, depuis ce jour je sais très bien chanter.
Quand tout le monde était petit, nous faisions de nombreuses, bonnes et belles sottises. Il serait bon de continuer à les faire.
<em>* : un adulte dira une fillette, un enfant dira une fille.</em>
<em>** : un "ne" explétif</em>
<em>*** : on vide un liquide d'un trait, peut-être pas de la poudre...</em>
<em>Bravo, excellent texte, judicieux emploi des temps des verbes. Vous devenez un écrivain d'expression française.</em>
Quand j’étais petit...
Quand j’étais petit, j’avais le un caractère insupportable. Souvent je pleurais, me plaignais de beaucoup de choses. Alors, si le je moi-actuel rencontrais le moi-du-passé, je me flanquerais très bien des gifles. Mais, je croix crois, qu’il n’y ait rien de particulier dans à cette histoire…
Quoi qu’il en soit, maintenant je voudrais raconter une autre chose. Il y a une nouvelle russe pour les ienfants qui’elle s’intitule « Ce que j’aime et ce que je n’aime pas ». Ce n’est pas difficile à deviner ce que raconte le jeune héros jeune dans de cette œuvre. Mais moi, je voudrais vous narrer mon enfance un peu autrement. Je vais vous raconter ce que je faisais et ce que je ne faisais pas.
Quand j’étais petit, j'e j'adorais le lait en poudre. Sur le rebord de la fenêtre dans la cuisine de ma grand-mère il y avait toujours avait un bocal en verre de 3 litres remplie de cette poudre magique. Une fois je le vidai d'un seul trait. Depuis je devais J'aurais dû attendre de nombreuses années pour grandir et prendre ce mon trésor du rayon le plus haut.
Quand j’étais petit, je faisais touts avec la main gauche : mangerais, dessinerais, presserais un bouton sur la le télécommande, lancerçais une balle, se me raccrocherais à des branches, tirerais des fillettes par leurs tresses etc. Mais une fois, quand, par habitude, j’eus pris/je pris/ayant pris/après avoir pris une cuillère dans ma main gauche, à ma grande surprise maman la changea soigneusement mais avec en insistantce de avec sa main (<em>pas trop clair!</em>). Depuis j'ai dû devais m’habituerais à vivre à la nouvelle manière. Jusqu’à ce moment-là alors je pense à ce qu'il en aurait e aura été si je serais resté/si je restais gaucher : j’aurai pu être un brave peintre, un musicien inspiré ou un écrivain un peu meilleur de ce que je suis aujourd’hui…
Quand j’étais petit, chaque jour je jouais au du football avec des gars de ma cour. J’avais huit ou neuf ans lorsqu’ils en avaient dix-huit ou dix-neuf. Ma tête a failli leur atteignaitndre presque jusqu'à leurs genoux. Un jour on était tellement pris par le s’oublia au jeu que quelqu’un me flanqua avec une balle droit dans ma figure. Depuis ce temps j'ai cessé e cessai de m’intéresser aux à les jeux que aie été liés à avec la balle.
Quand j’étais petit, j'e j'écrivais de la musique. Mais un matin je fis deux fautes : je j'osai jouer mes chefs-d’œuvre devant à ma maîtresse de musique et encore je fis trouvai la bêtise d’écouter sa critique (<em>pas trop clair!</em>). En revanche je sais bien chanter alors.
Quand tout le monde était petit, on faisait une des multitudes de (bonnes et belles) sottises. Il serait bon de continuer les faire.