Je me suis sentie triste à la fin de « Bojack Horseman », une série animée sur Netflix. L’histoire se déroule dans un monde ressemblant au nôtre avec une seule différence : beaucoup de personnages dans cette série sont des animaux anthropomorphistes. Le personnage de Bojack est un cheval qui était une vedette de télé dans son adolescence. Son succès à Hollywood l’a changé pour le pire et il est devenu un alcoolique blasé, plongé dans un océan de haine de soi et de dépression. La série suit un Bojack plus âgé, hors de la célébrité, en montrant l’envergure de l’abus qu’il a subit dans sa jeunesse et l’abus mental qu’il fait subir à ses proches. La fin de la série est un chef d’œuvre, mais aigre-douce en même temps. Le Bojack à la fin de la série ne ressemble plus au Bojack du début, mais c’est à l’audience de juger si le nouveau Bojack est vraiment mieux.