Ma grand-mère Hier, quand je regardais des photos sur mon ordinateur, une photo / l'une d'elles m'a sauté aux yeux. Sur celle-ci on pouvait voir la main de ma grand-mère serrant la mienne. / On pouvait y voir … (On peut utiliser l'imparfait car le récit est au passé.) Aussitôt, j’ai éprouvé / ressenti la chaleur des larmes dans mes yeux. Depuis les années 1980, ma grand-mère habitait avec la famille de mon oncle dans une autre ville. Quand j'allais la voir, j'aimais bien tenir sa main en (lui) parlant / j'aimais bien lui tenir la main en (lui) parlant (C'est plus naturel de le dire comme ça.). Pendant les dernières années de sa vie, sa démence sénile était devenue de plus en plus grave / avait empiré. Parfois, elle ne pouvait même pas reconnaître ses filles. Moi, même si je n’y allais pas assez souvent, elle pouvait toujours me reconnaître, et appelait mon prénom dans la langue de sa ville natale / et m'appelait par mon prénom (plus naturel)… Cela m’avait toujours beaucoup émue. La dernière fois que je l’ai vue, c’était pour la fête d'anniversaire de ses 103 ans. Je suis encore vraiment désolée pour mon retard, à cause de la longue attente de la livraison du gâteau d’anniversaire que je lui avais commandé. En regardant la photo à travers l’écran, je ressentais encore la puissante force de sa main contre / dans la mienne. Sa solitude et son amour m’ont rendue triste. Tu sais, elle fut la seule personne au monde à ne jamais refuser de lui serrer la main quand je le voulais, et aussi longtemps que je le voulais. Elle me manque. C'est un texte très touchant et très bien écrit. Merci de l'avoir partagé. Une photo ou un objet peuvent faire ressortir tellement de souvenirs.

Ma grande mère Hier, quand je regardais les photos sur mon ordinateur, une photo m'a sauté aux yeux. Sur laquelle il y avait la main de ma grand-mère serrant la mienne. Aussitôt, j’ai éprouvé la chaleur des larmes dans mes yeux. Depuis les années 1980, ma grand-mère habitait avec la famille de mon oncle dans une autre ville. Quand j'allais la voir, j'aimais bien tenir sa main en parlant. Pendant les dernières années de sa vie, sa démence sénile est devenue de plus en plus grave. Parfois, elle ne pouvait même pas reconnaître ses filles. Même si je n’y allais pas assez souvent, elle pouvait toujours me reconnaître, en appelant mon prénom dans la langue de sa ville natale. Cela m’avait toujours beaucoup émue. La dernière fois que je l’ai vue, c’était pendant la fête de son anniversaire de 103 ans. Je suis encore très désolée pour mon retard, à cause de la longue attente de la livraison du gâteau d’anniversaire que je lui ai commandé. En regardant la photo à travers l’écran, je ressentais encore la force de sa main contre la mienne. Sa solitude et son amour m’ont rendus tristes. Tu sais, elle fut la seule personne au monde à ne jamais refuser de lui serrer la main quand je le voulais, et aussi longtemps que je le voulais. Elle me manque.