Mohammad r Etezadi
Traduisez ce texte en anglais s'il vous plait? Merci en avance Le chef de l’Etat sentait bien que son camp était réticent, il voyait venir la primaire d’un mauvais œil. Il a tout fait pour l’annuler. Lui s’en ouvrait ouvertement, affirmant "la primaire, c’est compliqué", et ses proches montaient au créneau publiquement pour contester cette procédure qu’il avait pourtant acceptée. C’est quand il a senti qu’il n’arriverait pas à passer outre cette primaire qu’il risquait de perdre, que François Hollande a choisi de renoncer. Le trou de souris auquel il se raccrochait n’existait plus. La bataille n’avait plus de sens. Le président n’avait plus de sortie. Lui qui avait toujours dit, depuis trente ans, qu'"aucune élection n’est jamais perdue avant d’avoir eu lieu", a finalement choisi de se dérober au verdict du peuple français. "N'y va pas" C’était il y a moins de deux semaines. On cherchait à en savoir plus sur la "guerre psychologique Valls/Hollande". Un élu proche du Premier ministre pariait
Dec 10, 2016 9:19 PM