Aujourd'hui, l'adoption international est devenue un procédure qui a perdu en popularité. Selon l'étude mentionnée dans le podcast conduite au long du 21e siècle, le nombre des enfants adoptés à l'étranger est passé de 45000 en 2004 à 6000 en 2019. L'interlocuteur attribue le déclin de popularité à une gamme ample de raisons, entre lesquelles figurent des règles plus strictes, des organisations plus scrupuleuses, et enfin et surtout, des scandales qui ont provoqué un sentiment de méfiance dans les intéressés.
C'est interessant de mentionner que l'interviewée considère que la croyance qui l'adoption est simplement un déplacement d'un groupe de enfants dès un pays pauvre à un pays riche est, je cite, "ni vrai ni faux", car il y a des pays en cours de développement comme la Chine, la Russe et la Bulgarie qui sont parmi les pays les plus accueillants aux orphelins. Il faut remarquer quand même que les États-Unis, la France et l'Espagne sont les pays qui adoptent le plus de personnes.
Tout simplement, l'adoption est une transaction d'un enfant dès un espace avec des conditions défavorisées à un espace avec des conditions favorisées pour sa croissance. Bien que la disponibilité économique soit un des facteurs déterminants, il y a aussi des autres raisons motivantes. Tout d'abord, l'absence d'un noyau familial ne fournit pas d'espace sain pour le développement personnel de l'enfant. Il se peut aussi que la famille se soit éloignée de l'enfant et par conséquence les parents ne sont pas capables de prendre soin de leur progéniture. Il y a aussi des cas des enfants qui sont expulsés d'une façon involontaire de la maison, pourtant leur destin dépend de leurs pays d'origine, puisque seulement quelques pays respectent l'opinion de l'enfant.
En guise de conclusion, l'arrivée dans un nouveau pays ne signifie pas la fin du calvaire de l'enfant, car il devra affronter les problèmes de stigmatisation, de racisme et de assimilation dans un pays culturellement distincte à la sienne.