Dans la vie, si on veut faire carrière dans quoi que ce soit il faut maîtriser l'anglais. Enfin ça c'est ce que vos profs et votre maman vous ont dit.
Mais la vérité c'est qu'on peut très bien grimper les plus hauts échelons de la société en étant une énorme buse.
La preuve est que nos hommes politiques, qui pour la plupart devaient regarder pas la fenêtre durant les heures de cours.
Voyons qui sont les plus mauvais élèves de la classe politique. On vous prévient, il y a du niveau.
Numéro un : Nicolas Sarkozy
Attention, on attaque avec du lourd parce que Sarko il annonce la couleur direct.
"Sarkozy, the American"
Ah bon ? "The American" ? Euh bah on va voir ça !
"You are welcome to invest in France (...) We will be happy to help you make money in France and of course to make some money with you for us"
Ah non, ça c'est ... ça c'est pas "the American" ça. Ça c'est "the guy from Neuilly".
Numéro deux : Jean-Pierre Raffarin
"Win the yes need the no to win against the no"
Il faut savoir qu'encore aujourd'hui les plus grands linguistes débattent du sens de cette phrase. On a jamais su ce qu'il voulait dire l'ami J.P. . Mais, il avait la positive attitude et c'est ça l'important.
Numéro 3 : VGE
"France has electeud its president. She selected him after a veré demeucratique and clear campain"
Bon à l'époque, ça c'était considéré comme un accent convenable, comme quoi on a fait quelques progrès quand même. Par contre c'est le même mec qui a essayé de nous faire croire qu'il s'est tapé Lady Diana. NON. Restons sérieux ...