Activité: Inventer un texte un peu littéraire. Je me suis basé sur une article "Songeries ferroviaires", par Alain Rémond. Ce jour là, j’ai regardé par la fenêtre en soignant avec les yeux ouverts.

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Activité: Inventer un texte un peu littéraire. Je me suis basé sur une article "Songeries ferroviaires", par Alain Rémond. Ce jour là, j’ai regardé par la fenêtre en soignant avec les yeux ouverts. Je voie les enfants en attendant la voiture du ramassage scolaire et je me rappelle ma jeunesse. Le temps passait très lentement quand il n’y a rien à faire. Je me souviens quand j’étais enfant. J’ai grimpé un arbre pour aider un chaton avant d’aller à l’école. C’est le même arbre que je vois tous les matins en buvant mon café noir. Je vois aussi la place principale et je me souviens quand je jouais au football avec mes copains et les vieillards jouaient à la pétanque, pendant ces jours j’étais très heureux sans aucun préoccupation. Ces dernières années j’ai eu véritablement inquiète pour l’avenir. Je voudrais toujours vivre dans mon petit village, respirer l’air pur, sentir la terre humide du matin, connaître à tous les voisines… Malheureusement, je devrai prendre le train qui traverse la campagne et qui arrive à la ville.

22 de nov. de 2014 11:44

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Activité: inventer un texte un peu littéraire.

Je me suis basé sur un article "Songeries ferroviaires", par Alain Rémond.

Ce jour-là, j’ai regardé par la fenêtre en songeant/rêvant (soigner <> songer) avec les yeux ouverts/rêvant éveillé. Je vois les enfants en attendant la voiture du ramassage scolaire et je me rappelle de ma jeunesse.

Le temps passait très lentement quand il n’y avait rien à faire. Je me souviens quand j’étais enfant. J’avais grimpé un arbre pour aider un chaton (à descendre) avant d’aller à l’école. C’est le même arbre que je vois tous les matins en buvant mon café noir. Je vois aussi la place principale et je me souviens quand je jouais au football avec mes copains et les vieillards/aînés/anciens jouaient à la pétanque, pendant ces jours/en ce temps-là j’étais très heureux sans aucune préoccupation.

Ces dernières années, j’ai été véritablement/vraiment inquiet pour l’avenir. Je voudrais toujours vivre dans mon petit village, respirer l’air pur, sentir la terre humide du matin, connaître tous les voisins… Malheureusement, je devrai prendre le train qui traverse la campagne et qui arrive à la ville.