J'ai un chien qui s'appelle Willy. Je l'ai acheté il y a onze ans. Il avait deux mois quand pour la première fois je l'ai porté dans mon jardin. À l'époque j'étais presque un enfant.
Willy est un Beagle: il aime les endroits ouverts, la campagne surtout <em>(la Champagne, c'est une région de France !)</em>. Plus tard <em>(ça sonne mieux)</em>, j'ai découvert qu'il avait du talent <em>(ton récit est au passé)</em> pour la chasse au lièvre <em>(je suppose que c'est ce que tu avais à l'esprit)</em> mais je ne suis pas un chasseur et de toute façon je l'ai découvert/je m'en suis aperçu trop tard. <em>(Dans ce paragraphe, tu as une manière bizarre d'utiliser les deux points : en français)</em>.
Il a grandi vite/il a vite grandi. Il a commencé à faire connaissance avec les autres chiens de notre rue. Souvent, je l'ai emmené promener aux moments les plus froids de l'hiver parce que il ne pouvait pas rester une soirée sans faire ses besoins <em>(ce qui, entre nous, est normal ! Qui pourrait passer une soirée et une nuit (de 20 h à 8 h du matin) sans aller aux toilettes ?)</em>. Aujourd'hui mes parents l'ont emmené chez le vétérinaire parce qu'il a des difficultés à marcher. Il commence à être vieux. J'y pense fréquemment/je pense fréquemment au jour où il nous quittera <em>(tu écris "y" dans "j'y pense". Il faut préciser à quoi tu penses)</em> et, quelque fois, il m'arrive <em>("quelque fois il m'arrive", c'est un pléonasme, c'est-à-dire une expression répétitive. Je te propose de choisir soit ce que j'ai mis en vert clair, soit ce que j'ai mis en vert foncé)</em> de le regarder quelques fois, je le regarde <em>ou</em> il m'arrive de le regarde avec tristesse ; alors je m'en rends compte et je souris : j'ai peur qu'il comprenne ce que je pense.