Le journal: être mieux chaque jour. Je me souviens que quand j'étais petite.. Je me souviens que quand j'étais petite, je voulais devenir un peintre à Paris. Ca, c'était une lettre à soi au future en

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Delya

Le journal: être mieux chaque jour. Je me souviens que quand j'étais petite.. Je me souviens que quand j'étais petite, je voulais devenir un peintre à Paris. Ca, c'était une lettre à soi au future en 10 ans dont j’ai décrit mes songes quand j’étudiais à l’école élementaire. Quand j’avais cinq ans ma mère m’a dit que je vais étudier à la Sorbonne et c’est la raison pour laquelle je rêvais de la France. J’imaginais la Sorbonne comme un enseignement plus exceptionnel que Poudlard . Alors, je n’ai pas inqueté à dix ans que je n’ai eu pas la possibilité d’apprendre l’anglais, parce que à la place j’ai eu la chance de découvrir la langue française! Dans ces conditions, c’etait vraiment fantastique, puisque j’en croyait comme de premier pas pour attendre mon but à me rendre à Paris comme un peintre ou une étudiante à la Sorbonne. Néanmoins, j’ai aussi voulu d’ être un archéologue car j’etais fascinée par la culture égyptienne. C’est-à- dire, je m’imaginais dans les déserts parmis des pyramides et des pharaons. D’ailleurs, étant un enfant, j’ai vu que la vie n’est pas toujours juste et je voulait défendre les droits de l’homme comme un avocat. Finalement, cela dit, maintenant je suis ni un peintre, ni un archéologue, ni un avocat, ni j’ai beaucoup envie de quitter mon université pour la Sorbonne. Je fais mes études às l’Université des finances de Moscou à la faculté de management, dans une specialité de géstion humaine (RH). Certes, ce n’est pas ce que je voulais faire pendant mon enfance . Pourtant je ne jamais imaginais que je serais capable d’entrer dans cette université assez préstigieuse, parce que le concours était toujours trés haut, et je me sentais bien plus bas avec mes résultats des examens. Au fond, si j’ai su que vais étudier là auparavant, je serais hereuse! En fin de compte, je suis reconnaissante pour ma mère qui m’a dit qu’un jour je vais étudier en France, car maintenant je peux m’éxprimer un peu en français et je suis allée en France où j’ai acheté un sweater d’étudiant de la Sorbonne, même si je ne suis pas l’un, je me sens comme ça quand je le mets.

15 lis 2015 10:01

Poprawki · 1

Le journal: être mieux chaque jour. Je me souviens que quand j'étais petite..

Je me souviens que quand j'étais petite, je voulais devenir un peintre à Paris. Ca, c'était une lettre à soi au futur (à mon moi futur) 10 ans plus tard dont j’ai décrit mes songes rêves quand j’étudiais à l’école élémentaire. (> J'ai écrit ce rêve dans une lettre à mon moi futur quand j'étais à l'école élémentaire)
Quand j’avais cinq ans, ma mère m’a dit que je vais étudier à la Sorbonne et c’est la raison pour laquelle je rêvais de la France. J’imaginais la Sorbonne comme un enseignement plus exceptionnel que Poudlard . Alors, je ne me suis pas inquiétée à dix ans de ne pas avoir la possibilité d’apprendre l’anglais, parce que à la place j’ai eu la chance de découvrir la langue française ! Dans ces conditions, c’était vraiment fantastique, puisque je voyais ça comme le premier pas pour atteindre mon but de me rendre à Paris comme un peintre ou une étudiante à la Sorbonne. Néanmoins, j’ai aussi voulu d’ être un archéologue car j’étais fascinée par la culture égyptienne. C’est-à-dire, je m’imaginais dans les déserts parmi des pyramides et des pharaons. D’ailleurs, étant (un) enfant, j’ai vu que la vie n’est pas toujours juste et je voulais défendre les droits de l’homme comme un avocat.
Finalement, cela dit, maintenant je suis ni un peintre, ni un archéologue, ni un avocat, ni j’ai beaucoup envie de quitter mon université pour la Sorbonne. Je fais mes études à l’Université des finances de Moscou à la faculté de management, dans une spécialité de gestion humaine (RH). Certes, ce n’est pas ce que je voulais faire pendant mon enfance. Pourtant, je n'avais jamais imaginé que je serais capable d’entrer dans cette université assez prestigieuse, parce que le concours était toujours très haut (à un très haut niveau, très difficile), et j'avais l'impression que mes résultats aux examens étaient bien plus bas. Au fond, si j’avais su que j'allais étudier là auparavant, j'en aurais été heureuse !
En fin de compte, je suis reconnaissante pour ma mère qui m’a dit qu’un jour je vais étudier en France, car maintenant je peux m’exprimer un peu en français et je suis allée en France où j’ai acheté un sweater d’étudiant de la Sorbonne, même si je ne suis pas l’un d'eux (même si je n'en suis pas une), je me sens comme ça quand je le mets.