Au long de ma vie, j'ai fait du travail bénévole plusieurs fois, soit pendant une periode fixée d'une semaine ou deux semaines, soit d'un façon plus régulier de quelques heures par semaine. Chaque manière d'être bénévole possèdent des pours et des contres. Par exemple, quand j'étais adolescent, je voyageais avec un groupe de mon église aux pays à l'est d'Europe, comme l'Hongrie, la Roumanie, ou la Slovaquie. Là-bas, pendant une semaine, on construisait des jardins infantils et des bancs, et on donnait des cours réligieux aux étudiants dans des écoles locales. Plus tard, quand j'avais trente ans, j'ai travaillé dans une ferme chilienne où je suis resté plusieurs semaines. Bien que j'aie dû me levanter assez tôt, j'ai adoré l'opportunité de travailler avec mes mains en plein air. On arrosait les plantes, on désherbait le jardin, on récoltait des fruits, et après avoir terminé nos tâches, on déjeunait ensemble dans la maison de notre hôtesse. Avec les bénévolats à plein temps, on peut nous immerger dans un nouveau lieu et on peut aussi apprendre des nouvelles capacités. En sus, on peut essayer des travaux différents. Néanmoins, quels que soient les bénéfices, il faut aussi reconnaître la possibilité d'affronter des défis, même des problèmes. Si on ne s'entend bien avec l'hôte, si on n'aime pas le travail, si nos proches nous manquent, on terminara le séjour avec une mauvaise impréssion du travail bénévole.